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Santé Troubles du Comportement Alimentaire
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19 octobre 2006

NOTION DE RESISTANCE

bonjour quelques mots du concept de resistance trés important dans les difficultés de prise en chrge de patientes souffrant d'addiction

OBSERVANCE syn ADHESION AU TRAITEMENT

 

Physicians can learn to be experts in diabetes management , but only patients can be experts in the conduct of their own lives Robert M.Anderson

 

 Les patients sont de plus en plus informés ce qui ne veut pas toujours dire de mieux en mieux

 85% de la prevention des maladies passe par l’hygiene de vie

 15% passe parl les medcts

 

 

Ce concept qui englobe l’adhésion au traitement ,les resistances sources d’échec de la prise en cahrge médicale psychiatrique est un chapitre très important aux conséquences multiples dans la condutie médicale . Relativement peu étudié en France et dans des domaines particuliers : HTA diabéte( dont on connaît bien la resistance psychologique à passer à l’insuline : peur de grossir ,phobie des injections peur des crises d’hypoglycémie ;  VIH , plus regardé chez les anglosaxons dans la mesure ou les gros laboraoires ont besoin de connaître les causes e’échecs des prise en charge pour ajuster les modéles therapeutiques ils ouvrent la porte sur les difficultés au sens large de l’activité médicale de soins au sens large 

Plusieurs termes recouvrent le champ de l’observance mais ne sont pas exactement synomymes . Le terme compliance largement utilisé par les anglo-saxons est nous le verrons différent de l’observance plus utilisée par les francais , ce dernier etant proche du terme adhésion au traitement . A l’encontre du bon suivi par les patients des traitements proposés par l’institution médicale est la résistance : résistance qui englobe bien sur les différents échecs des traitements pour des raisons physiologiques ( mauvaise adaptation des traitements comorbidité , antagonisme des thérapeutiques etc.. mais aussi les difficultés psychologiques d’adhésion au traitement pour de nombreuses raisons : effets secondaires trop importants ,sensation d’inefficacité ,croyances etc ….


La plupart des patients confrontés à un diagnostic de maladie grave passent par différentes phases psychologiques, aussi bien le déni, mécanisme de défense contre l'angoisse, un refus inconscient de la maladie, que la révolte, l'abattement puis l'acceptation, phase où le combat s'organise. Ces différentes phases qui se succèdent chez la plupart des patients sont normales et le rôle du soignant est d'accompagner le patient au cours de cette évolution, de l'aider à surmonter la souffrance morale liée à l'annonce du diagnostic, à accepter la maladie et à devenir un complice actif de l'équipe soignante

A coté des résistances au traitement médicamenteux existent de maniére plus importante encore pour des raisons de difficultés personnelles les échecs dus à l’impossibilité par les patients de suivre les conseils parfois très simples d’hygiéne de vie : Eradication du tabac , activité sportive modérée , diétetique de bon sens par exemple Ces échecs dans la prise en charge médicamenteuses sont connues et ont été étudiées par les laboratoires médicaux pour expliquer le nombre de drop out d’échecs thérapeutiques dans les domaines tels quer l’hta un patient sur 3 équilibrés malgré l’arsenal thérapeutique existant , les traitement du VIH et le diabéte de type 2 et surtout ce qui se rapproche de notre propos les tca dans la mesure ou le lit de ce diabéte est le syndrome métabolique , la résistance à l’insuline dc l’obésité

a coté de la prise en charge purement armée cad médicamenteuse et souvent en amont se pose le probléme des résistances psychologiques ou il n’existe pas à proprement parleer de médicaments , ou tout se passe au niveau de la relation médicale sur un plan psychothérapeutique , prise en charge purement psychologique ou les échecs sont si l’on peut dire beaucoup plus purs et ou peut etre réfléchi les différents points d’éceuils sur lesquels la relation achoppe : Le paragdime en est bien sur l’attitude thérapeutique face à l’am , mais aussi dans un ordre différent devant l’obésité . Que se passe t il dc entre deux etres dont l’un formule une demande d’aide à l’autre supposé savoir et ou commence une dans don,t les teants et les aboutissants sont loin d’étre déterminés

 

petit developement de théorie sur l’aide aux patients

 

Dans la prise en charge psychothérapeutique qui est un domaine qui recouvre tous les aspects de la médecine puisque la liberté de chacun d’accepter la rencontre médicale de formuler ou de retirer une demande soit clairement soit le plus souvent de manière inconsciente 

la plus grande difficulté est qu’il n’est pas certain que le patient veuille ce qu’il demande .

Certes sur le plan conscient le patient souffre , il a des raisons de se plaindre de regretter certains choix , certains manquements . Il peut arguer qu’il ne savait pas ,qu’il ne sait pas que faire , que la souffrance est intolérable qu’ il en a assez que s’il savait pourquoi guérir dc changer serait possible . Mais il est là, il veut arreter de fumer maigrir ,arreter de boire , que les vomissements cessent ; il veut etre heureux , changer de vie , de peau ,de partenaire, de travail de ville de pays ; bref il veut cesser d’etre ce qu’il est pour naitre à une autre vie , une autre destinée .

Mais cette demande , ce désir est confronté à la réalité de ses habitudes de ses difficultés à justement  prendre en main son sort pour évoluer ce qui par définition il ne sait pas faire ou plus sérieusement ce qu’il ne veut pas faire . Pourquoi parce que ce regain d’énergie dont il se plaint de manquer , cette inertie est le fruit de bénéfices secondaires comme l’a exliqué Freud et que l’on sait que ce que l’on a et que plonger dans l’inconnu est angoissant et que le changement quand il se crée et qu’il est choisi ne s’arrete pas . Quand on a pris le partie de s’adapter à la réalité , aux autres à la relation , l’on prend le risque d’étre en mouvement perpétuel toujours à s’ajuster aux différents mouvements de la vie . Et le choix du patient que l’on peut lui faciliter se résume à rester ce qu’il est ce qu’il connaît ce qu’il maitrise , ouà sauter dans l’inconnu bouger pour un avenir plus vivant . ET à cette articulation se noue la relation patient thérapeute qui va devoir etre penser , créer accompagné sans préjuger de l’avenir celui-ci etant par définition mouvant dc imprévisible . LE thérapeute n’est dc comptable en aucune façon d’un résultat objectif quelquonque succés ou échec d’autant plus qu’il est lui méme qu’un pierre dans le flux de la vie à coté de la famille du milieu professionnel de l’histoire de la personne de ses émotions .Il ne peut qu’acceuillir que laisser se développer la vie et renvoyer à la possibilité de mouvement

 Et c’est surement la difficulté cardinale de l’etre humain malade. Lui qui est fixée dans un role de malade d’handicapé de la vie , dont l’entourage connaît sa couleur son caractére son tempérament demande en fait de tout bouleverser de changer ses rapports au monde pour ne plus rester figer . Etre malade se sentir mal c’est aussi se sentir bloquer , etre fixé sur des souvenirs des remords des regrets , c’est se plaindre de na pas pouvoir vivre ou du moins moins bien , c'est-à-dire s’adapter , se fondre se laisser porter dans le mouvement de la vie ,des relations. Et cette plainte des patients souvent bien impatients de solutions totales rapides définitives est ancrée sur l’analyse du passé des causes des motifs de la souffrance actuelle .Cette plongée dans le passé cette fixation illusoire à des souvenirs des traumatismes réels ou symboliques , cette recherche éperdue d’une explication de l’étroitesse de vie actuelle faite d’empéchements d’incommunicabilité est le probléme car il est  contradictoire avec la seule solution à la sortie de la souffrance bouger,  se bouger  dans cette vie se déplacer dans le monde affectif laisser faire accepter de recevoir les surprise s de la vie dans la rencontre  . Et sortir d’une pensée omnipotente qui essaie de rediriger la libido dans une supposée bonne direction : Avoir une vie affective améliorer ses relations aux autres . Cela ne peut se faire que par devers soi . Ce n’est bien sur ni programmable ni controlable . Tous les espoirs de reprendre sa vie en mains d’ajouter du contrôle là ou justement on fait le point de la faillite de ce systéme de cette maniére de faire. Et tout le travail du thérapeute est d’aider le patient demandeur d’aide est de lui permettre d’obtenir un certain détachement pour si l’il ne peut diriger la vie dans la direction qu’il veut l’échec en est patent dans son cas et à l’heure actuelle , du moins ne pas se priver de profiter de ce qui lui arrive de devenir capable de le mettre en forme de pouvoir attendre que les événements de la vie crée les conditions possibles pour améliorer sa vie

Et je crois que l’on reconnaît rapidement l’authencité de cette demande quand on recoit un patient .De maniére évidente certains dressent des barriéres infranchissables : allergie aux médicaments ,impossiblité de manger moins de fumer moins de mettre ne place l’activité physique ( pas le temps docteur ) donc et l’imagination humaine est illimitée pour dresser des barriéres au changement . Le deuxiéme obstacle majeur et prédominant dzans mon experience est la recherche des causes . Est la penséée freudienne qui s’est insinuée ds la pensée collective , l’idée de connaître les causes de sa souffrance est le graal le gold standart des patients . Comme si le psyché etait une mécanique qui si on en ouvrait le moteur permettrait de réparer les anomalies .Cette vision purement linéaire du fonctionnement de l’esprit dans lequel connaître les causes de ses difficultés permettrait de remonter le cours du temps , modifier les innombrables inflexions qui ont crées l’etre humain que nous sommes construit à partir d’infinies variations , de choix quotidiens insconcients dans une direction ou une autre qui vont à notre insu nous orienter dans des trajectoires de vie  différentes  Beaucoup de patients sont entrainés par cette quéte éperdue et vont enchainer les prises en charge vouées naturellement à l’echec , à la répétition Cette recherche éperdue des causes de la situation actuelle est très difficile à lever dans la conception simpliste du fonctionnement de l’esprit  humain .

 

Dc exmples classiques et fréquents de resistance au changement : alcool tabac, b vomisseuse eglt psychologique et substratum biologique fort

Deni anorexie surtout

 

 

 

Sont dc passés en revue la compliance , l’observance la résistance les facteurs de non observance

 

 

A) COMPLIANCE  temre anglo saxon versus adhesion au traitement

 

 Compliance (GB observation, l’état ou fait de se s’accorder ou de satisfaire aux régles ou aux normes

 to comply obéir se conformer céder se soumettre ) implique une soumission involontaire à l’autorité alors que l’adhesion au tt est l’ acte volontaire de faire sien un point de vue .

l

La difference n’est pas que sémantique ; Compliance n’existe pas dans la langue française en tant que tel On s’accorde à le traduire en francais par observance mot issu du français médieval ( le ptit robert : action d’observer habituellement de pratiquer une régle en matiere religieuse : obéissance à la regle )

 Elle est complétement différente sur le plan de la relation thérapeutique .

Nous avons à modifier l’attitude des patients quant à la prise en compte des données médicales dans la prise ne charge de leur santé

Adhésion au ttt : Valeurs partagées langage commun, respect mutuel

Il nous faut partager les memes valeurs , avoir un langage commun et faire montre de respect mutuel

Reconnaître les valeurs du patient : ce qui est considéré comme une mauvaise compliance par le therapeute peut etre l’expression des effets secondaires des ttt, et dans un certain sens c’est le paitent qui a le dernier mot .

L’absence cde compliance est le synonime de désobeissance pour les professions de la santé.

Les théorises actuelles sur la communication médicale ne développent plus l’idée que la patient  est  un receveur idéal rationnel des informations délivrées par l’institution médicale mais plutot un receveur porteur de constructions personnelles de l’idée de la santé et de soins  idéaux pour lui méme. Nous devons croire à ce que le patient nous transmet et en tant que tel c’est le meilleur informateur quant à ses croyances ses convictions ses attitudes son style de vie

Cette étape est la premiere phase cruciale d’amélioration de l’adhésion au ttt .

Une bonne adhesion au ttt est associée à la satisfaction du patient à la continuité des soins e »t à l’acceptation de la nécessité du suivi du ttt A l’inverse le trouble chronique présentant peu de symptomes évidents ainsi que les ttt complexes sont generalement associés à une mauvaise observance

Deux nouveaux modeles de communication : soin centré sur le patient et modele du patient habilité( empowerment cad habiliter quelqu’un à faire quelque chose )ou medecin et patient apporte chacun leur expertise au cours de la recontre médicale dans un respect total des idées mutuelles .Le medecin reste tjrs la source de la connaissance mais son role devient plutot celui d’un coach . Le patient lui vient receuillir des informations médicales une aide psychologique en gardant la responsabilité de sa prise en charge . La compliance s’éloigne dc de l’attitude d’obéissance pour se rapprocher de l’attitude responsable de partenaire tendu vers le meme objectif : l’alliance thérapeutique . Elle est en d’autres termes une facon plus neutre de parler de transfert et du contre transfert : ce rapport entre deux personnes dont l’une a besoin de l’autre

 

 

B L’OBSERVANCE

 

Observance est un terme d’origine religieuse . Etymologiquement , observance renvoie à la notion de Loi prescrivant l’accomplissement de pratiques rituelles et à l’obéissance à Dieu .

Dans le champ des pratiques médicales , l’observance se définit comme le respect scrupuleux par un patient des prescriptions du médecin, qu’elles soient médicamenteuses ou non . C’est aussi le degré de concordance entre les comportements des patients et les prescriptions médicales

La maladie chronique asyptomatique dont le ttt est plus préventif que curatif est le plus svt concernée par le probléme de mauvaise observance ( prototype : obésité hta diabéte tabagisme sédentarité

L’observance est très fluctuente : chez les diabétiques amélioration une semaine avt et après la consultation de contrôle .plus on s’éloigne du contact médical (1 mois) diminution de la conscience de la nécessité de se soigner .

Les résultats des différentes enquêtes démontrent que le comportement d’un même individu vis-à-vis de son traitement varie au cours du temps, le déroulement du temps intervenant comme un facteur d’intégration ou de rejet du traitement conjugué à des facteurs tels que la perception des effets secondaires et la confiance dans l’équipe soignante. Cela met en évidence la difficulté de maintenir le même comportement d’observance sur du long terme.

L’observance apparaît comme une variable dynamique, jamais définitivement acquise mais au contraire fluctuante dans le temps et le vécu des personnes et peut être définie comme un perpétuel compromis entre le patient, son traitement et l’équipe soignante.

D’une manière générale, les patients qui comprennent le but du traitement, qui sont conscients des effets secondaires et qui sont convaincus de l’efficacité du traitement ont un comportement plus observant..

Les informations positives et objectives sur l’efficacité du traitement comme les résultats biologiques, , influencent l’adhésion au traitement

 

La mesure de l’observance

Les différentes enquêtes ne sont pour la plupart pas comparables, la mesure de l’observance n’ayant pas été effectuée de la même manière. Les méthodes utilisées pour mesurer l’observance sont très diverses et vont du dosage sanguin des médicaments aux piluliers électroniques en passant par l’auto-questionnaire, le carnet, l’entretien avec le patient, les marqueurs biologiques, le dénombrement des médicaments retournés, le taux de renouvellement des ordonnances.

Les différentes méthodes proposées dans la littérature peuvent être résumées dans un tableau (Costagliola D., Barberousse C., Comment mesurer l’observance ?, in : L’observance aux traitements contre le VIH/sida : Mesure, déterminants, évolution, Paris : ANRS, 2001, pp. 33-42) :

                                                           
 

Méthode

 
 

Avantage

 
 

Inconvénients

 
 

Dosage   des médicaments et marqueurs biologiques

 
 

Vérification   de l’utilisation récente

 
 

Limité   à l’utilisation récente. Variation de la cinétique entre patients et dans le   temps pour chaque patient

 
 

Observation   directe du patient

 
 

Vérification   de l’utilisation

 
 

Impraticable   au quotidien

 
 

Entretien

 
 

Facile   à utiliser, peu coûteux

 
 

Influencé   par la façon de poser les questions et l’habileté de l’intervieweur

 
 

Carnet

 
 

Seules   données apportant des informations sur le rythme des prises et dont la source   est le patient

 
 

Le   patient doit penser à remplir et ramener son carnet

 
 

Auto-questionnaire

 
 

Facile   à utiliser, peu coûteux

 
 

La   précision des données quantitatives dépend de l’outil

 
 

Dénombrement   des médicaments restants

 
 

Facile   à utiliser, peu coûteux

 
 

Pas   de données sur le rythme des prises et les modalités

 
 

Registre   de délivrance manuel

 
 

Non   invasif

 
 

Limité   par les possibilités locales

 
 

Registre   de délivrance électronique

 
 

Non   invasif, données à long terme, échantillon de grande taille.

 
 

Connaissance   de la base de données indispensable, pertinence des variables enregistrées

 
 

Pilulier   électronique

 
 

Données   précises sur le rythme des prises

 
 

Coûteux,   abondance de données, intrusif

 

Toutes les méthodes d’évaluation de l’observance qui s’appuient sur les déclarations du patient sont soumises à sa volonté.

Les techniques directes de dosage, coûteuses et invasives, peuvent mesurer la molécule active mais ne détectent pas les modalités et les fluctuations de prise. Elles ne concernent souvent que la période la plus récente, le patient ayant pu ne prendre son traitement qu’à l’approche de la consultation. De plus, certains patients peuvent avoir des taux plasmatiques proches et prendre différemment leur traitement. Les variations de métabolisme individuel affectent également le niveau de concentration du médicament indépendamment de l’observance du patient. La présence du médicament et sa bonne concentration ne signifient donc pas forcément observance  et inversement.

Toutes les méthodes mesurent des aspects différents et aucune n’a toutes les propriétés idéales. Il peut donc être important d’utiliser deux méthodes différentes simultanément.

 

 

La non observance peut interésser toutes les étapes des traitements .ET les conséquences sont considérables : rechute de maladies en pc psychiatriques 40%, rejet d’organe transplanté rechute epilepsie , d’infections .L’arrét intempestif d’un ttt rend inutile les sommes investies dans l’exploration et le dg de la maladie . En fait l’OMS donne le ton : Amélioerer l’observance est plus rentable que n’importe quel progrés médical C’est dc en plus d’ l’adhésion au traitement une paticiaption active non slt de la mise en œuvre du tt ,mais aussi de la décision therpapeutique Ce qui met au premier plan la communication médicale et dc la mise en place de modéles comportementaux psychosociaux ( loi 4 mars 2002 )

Le probleme d’observance est en fin de compte un probléme d’éthique : Trouver le point d’équilibre entre le principe hippocratique de bénéficence ( faire le bien du malade ) et l’autonomie du patient que le soignant se doit de respecter (

 

Dans les facteurs de non observance , les resistances et en pc dans les tca posent un probleme thérapautique habituel différents suivant le dg am, boulimie vomisseuse ou non vomisseuse et enfoin l’obésité qui posent des problemes différents

 

 

Les facteurs de mal observance

 Liées à la maladie

 Déficxit de connaissances ne sait pas quoi faire , comment le faire remede : education therapeutique apprentissage de stratégies ( diabete HTA )

 Connaissance oui ms aussi motivation appuyés psur les croyances désirs émotions

 Guerison spontanée

 Absence ou faible intensité des symptomes

 Absence de consensus social sur la maladie les on-dit qui influencent un patient donné à un moment précis

 L’associaiton inobservance rechute est robuste causalite bidirectionnelle l’un favorise l’autre et vice versa

 Liées au médecin

 Inexactitude du dg

 Insuffisance de conviction personnelle

 Manque d’information donnée au maalde tant sur le fond que la forme

 Manque de flexibilité

 Manque d’intérét engendre une humiliation du patient

 Autorité du medecin : reaction hostile du patient

 Liés au patient et à son entourage

 croyances +++ perception du bénéfice de l’adhésion therapeutique++, de la limitation à cette adhésion la perception d’une vulnérabilité éventuelle de la rechute , la perception de la gravité de la maladie etde la sévérité du pronostic +++

 manque d’insight qui peut se développer au fur et à mesure de la chronicite de la maaladie diabete obesite bipolarité

Desinteret par rappport à la maladie

 Ignorance sur la maladie peur de la dépendance au ttt

Desorganisation de la vie personnelle transformée en oppositon réglée à tout maniére d’affrimer leur bizarrerie

 Difficultés à suivre les recommandations médicales : langue handicap sensoriel

 Peur du medecin de la maladie

 Entourage influence hostilité du patient envers l’entourage famille couple , pahtologie mentale alcoolisme dépression sévere au pire délire

 differentes ethniques

Automédication

Indifference du patient

 Liés au medecin et au patient 

 Manque de temps

 Contre transfert mal maitrisé ou negatif : toxicomanes alcool obeses sida

 Conflits larvés ou déclarés

 Mauvaise communicaiton

  Une presription autoritaire peut etre vécue comme hostile

 Liées à la prescription elle meme

 Traitement lourd sida multiplicité des prises coprescription

 Effets secondaires severes interferon

 Reajustement permanent diabete hemodialyse

 Bénéfice non prouvé par rapport à l’absention cancer depression

 

FACTEURS DE NON OBSERVANCE Etudes

 

 Etudes sur les facteurs de non observance parfois contradictoires et confirment la nature complexe du probleme

1 facteurs liés au patient

 comorbidite addictive insight faible tr de personnalité

 frs demographiques :

ages extremes :sujets agés ont parfois une mauvaise comprehension des ttt d’autant plus qu’il y a des coprescriptions patients jeune de sexe masculin plus à risques ,

sexe la non adhesion au ttt est plus élevé chez les femmes que chez les hommes mais ne peut etre considéré comme facteur de prédiction de mauvaise observance

ethnie blancs americains plus observants qu’americains d’oirigine africaine ou hispaniques à cause niveau socio-economie et offre d’accés aux soins /la qualite de environnement familial

 frs liés à la nature de la maladie intensité de symptomes superobesite , tr psychotiques sotn predictifs de l’interruption comlete des ttt des les 15 premiers jours / complexite des traitements addiction ( alcool tabac shit pr les plus jeunes ) A l’inverse sont corrélés positivement influence des autres peut améliorer l’alliance thérapeutique et attitude positive, l’affinité pour le medicament ou le ttt ( perception de l’effet des ttt)

2 frs liés au médecin

 capacite de créer une alliance thérapeutique

 depend de la relation therapeutique plus la transmission d’information et d’éducation est de bonne qualité meilleure est l’obsevrance. Qualite de l’information doit etre :complete, comprehensible et accessible pour garantir meilleure efficacité tolerance et observance therapeutique /les informations données aux patients sur les ttt sont le plus souvent insuffisantes et ne pc les effets secondaires lateraux et sur la necessité de suivre l’importance des prises horaires , suivi surveillance biologique adaptation du tt au style de vie particuleir ( travail nocturne repas decalé )

3 frs liés au ttt

 la mauvaise tolerance est la cause d’arrét la plus fréquente du ttt :(fatigue troubles sexuels endormissement, prise de poids ) , l’absence d’efficacité reprise pondérale , la complexite des prises .

reevaluation reguliére des coprescriptions

 

la question de la coopération du patient et du suivi des prescriptions doivent etre sytématiquement explorée en priorité .La mauvaise observance est une cause majeure d’aggravation des symptomes et du nombre de jours d’hospitalisations .L’observance thérapeutique est un champ d’étude marqué par les limites méthodologiques.Les définitions et méthodes d’évaluations sont multiples et expliquent que les résultats notamment sur les facteurs prédictifs soient contradictoires .

L’observance est un phénoméne complexe et dynamique . Les facteurs d’observance sont nombreux , interagissent entre eux et peuvent évoluer dans le temps chez un meme patient

 

 

 

 

Efficacite

 Le jugement du patient

niveau d’insight

efficacite perçue et croyances ds efficacite du traitement

effets secondaires et diffcultés meise en place niveau de frustation complexité des consignes

acceptabilité du ttt ,( duree difficultés nombre de prises consequences sociales familialies affectives )

experience subjective ( conditionnement interoceptif negatif )

qualite alliance therapeutiques

au décours d’une hospitalisation le sentiment d’etre considéré comme une personne digne d’intérét ets la facteur qui predit le mieux l’observance et inversement

 Le jugement du medecin

efficacite du traitement experience anterieure

niveau d’implication personnel le coefficient personnel

piege attention à ne pas baisser la garde en tant que thérapeute devant l’inobservance des patients renoncer à établir une alliance thérapeutique dvt les difficultés de communication

Attention à la contagion émotionnelle desespoir desorganisation

 

 

Dans la cadre des déficits d’observance la réssitance est une chapitre particuleir qui est particulierement important puisqu’il concerne les prises en charges psychothérapeutiques Les TCA et en particulier l’am en sont la paragdime ultime . Les difficultés sont différentes dans l’obésité et les syndromes boulimiques . Enfin les grignoteurs posent des problemes différents . Leur présentation est déjà totalement à l’opposée / A la demande pressante et pathétique de l’obése et des boulimiques s’oppose l’absence de demande de l’am

 

RESISTANCE rappel

 Resitance syn ou pas de non observance peut etre resitance plus actif que non observance passif ?

 Def freud

 Le mot résistance vient du latin resistere qui signifie s’arréter , faire obstacle . Ce terme fut plutot investi progressivement du sens de s’opposer notamement dans son sens guerrier . L’usage plus psychologique émerge vers le 16 siécle : tenir tete ,repoussser les sollicitations . IL est amusant de constater que l’émérgence de cette signification est comprise dans deux sens : la resistance s’applique aussi bien à la maladie qui resiste au traitement qu’au sujet sain jamais atteint par la maladie. Le sens actuel apparaît au début du 20 siecle : le mot en vient à évoquer les désaccords plus ou moins conscients d’un sujet avec lui meme face à ses prorpes engagements. Dans le sens psychanalytique , la résistance désigne l’expression d’une défense générée par le refoulement et qui prend la forme d’un obstacle . Mais loin d’etre toujours négatif , la résistance peut etre également l’enjeu de la cure psychanalytique. Freud en fit une des piéces maitresses de sa théorie : l’objectif de l’analyse peut se définir comme l’analyse meme des résistances dans le but ultime d’amener le processus et les transferts à se découvrir à se déployer rendant de ce fait possible l’interprétation .

Actuellement le sens de la résistance s’est élargie au dela cette signification pour évoquer la non collaboration l’opposition plus ou moins consciente de la part du patient lors d’un entretien ou d’un traitement

 

Resistance aug

 Patient

 Resistance au chgt :

Anxiété difficulté de mettre n en place un ttt peur de la perte de controle , de l’apparition d’une dépendance

 phobie

orgueuil ; toute puissance : s’en sortir tout seul

hypocondrie écoute particuliére des signaux corporels repérage de troubles corporels interprétés comme des effets secondaires ou latéraux

 Experience anterieure positive

 Inscouciance

 Joueur 

ne respecte pas les regles fumeur alcool ordalie jugement de dieu

croyances diveres entravant la confiance ds l’efficacite des medicaments

 Therapeute

 Manque de Temps , contre tranfert negatif ,

 Paragdime de la résistance ! prise ne charge de l’anorexie mentale

 L’on sait que la pathologie addcitive et en partiucleir l’am sont des pathologies d’abord difficile impliquant une prise ne charge dans l’idéal pluridisciplianire : somatique nutritionnelle psychiatrique

 

 autre exemple le refus de soins :

je refuse d’etre transfusé , je ne veux pas etre hospitlaisé je ne suis pas folle,je suis contre les vacciantions pour mes enfants ,la chimio me rend malade je n’en veux plus

Décryptage le refus de soins ,s’il doit parfois etre respecté doit etre interprété comme une demande de dialogue

 Le refus de soins apparaît svt au médecin comme un acte agressif envers son autorité et qui va à l’encontre du propre intéret du patient ( hospitalisation chimio antidépresseurs amaigrissement ). En fait c’est l ‘occasion d’une meilleure écoute qu va pouvoir mettre en évidence une demande accrue de soins La parole exprime l’opposition certes mais il est important de le remettre ds le contexte : le jugement est il affaibli ,y a t il une pression de l’entourage , s’agit il d’un manque de compréhension de la maladie d’un phénomene de déni de la maladie . est l’expression d’un syndrome dépressif .

En situation d’urgence le probléme peut se poser de maniére différente : refus de transfusion, de césarienne pour certaines cultures qui pose le probléme de l’assistance à personne en danger et à l’exigence d’autorisation du malade ou de son responsable .

Derriére le refus de traitement, il ne faut pas donc pas voir qu’un simple affrontement mais une demande de reconnaissance d’explications de meilleure communication ouvrant sur une nouvelle relation thérapeutique plus éthique

 

Resistance

 Diminutiuion

transfert massif

pensee magique

personnalité obsessionnelle respect absolu des consignes diabete ta

qualite de l’environnement familial et culture du sujet

 

 

1) L’anorexie mentale

Cas cliniques

Lara C 16 ans amr depuis 8 mois perte de poids de 12 kgs aménorhee brillante sur le plan scolaire , bien enoturée par une famille informée qui la soutient, acceptant le dg , bonne association theraptuique . la patiente un peu atypique accepte une conduite alimentaire adaptée , mais au bout de quelques mois poids toujours bloqué malgré des prises alimentaires améliorées sous cotnrole familal : question apparition de vomissement ?

 Melle ansade 25 ans bnv , comptable trés centrée sur le sucre sous forme de bonbons en quantité très importante lui est indispensable ne supporte pas hypoglycémie ne veut plus vomir : éducation alimentaire apport plus équilibré interdiction d’absorber du sucre pur ; bon suivi en 1 mois et deux entretiens disparition des crises de b mais crise d’angoisse au troisieme entretien prise poids alléguée de 3 kgs par semaine depuis le debut de la prise en charge d ans un contexte très chargée sur le plan émotionnel , anxiété pleurs émergence de diffcultés d’assumer son nouveau travail pression professionnelle mal supportée  : balance pluri quotidienne Balance pendant l’entretien poids pas bougé depuis la prise en charge . En fait apparaît une logique anorexique avec une énorme difficulté à accepter une prise de poids éventuelle meme minime début du travail sur l’image du corps , sur une dépression éventuelle en tout cas une fragilité émotionelle camouflée dans les premiéres rencontres la premiere phase d’éducation n’étant qu’un révélateur d’une demande d’aide psychologique

 

Ces exemples montrent deux cas completement différents de présentation des AM Dans le prmeier cas l’entourage de L. s’est ému au point de rechercehr des solutions d’abord nutritionnelles puis la nutritioniste de maniére judicieuse a préféré demandé un avis psychiatrique . La famille étant d’un certain niveau culturel et intellectuel a accepté cette proposition et la patiente n’a pas érrée trop longtemps . En face de cette patiente typiquement anorexique satisfaite de son état , brillante éléve , nous nous trouvons devant deux problémes : affirmation du diagnostic et l’annonce solennelle à la famille, et en méme temps l’appréciation de l’état psychique de la patiente de ses capacités de bouger : Nous nous trouvons ds ce cas confronté à un déni massif , une inertie comportementale sur le plan alimentaire en fait une abscence de demande authentique .Et c’est là tout le probléme de la prise en charge de l’am . Dans ce cas précis,l’absence de trouble de l’image corporelle massive pas encore installée en quelques mois la qualité de l’entourage permet de garder quelques espoirs sur l’évolution à court terme . Il est probable que plus agée et autonome elle aurait rompu le contactt après l’annonce du diagnostic. A suivre

Dans le cas de melle A. les difficultés sont différentes mais aussi importantes . Celle-çi n’a révélée son trouble massif de l’image corporelle qu’en, deuxieme temps ainsi qu’un sentiment d’estime de soi faible ( portant sur les difficultés qu’elle ressent dans son, travail de comptable, la peur de ne pas y arriver ; la révélation se faisant dans un tableau d’intense émotions pleurs ) Sa demande initiale de reguler les troubles boulimiques ( bonbons ) a été remplacée en deux entretiens par le passage au premier plan d’un tableau anxiodepressif et d’une logique anorexique .

 

 

2) Les syndromes boulimiques

 

 La situation de prise en charge des boulimiques est un peu plus diversifée puisque deux tableaux peuvent se présenter :

 Le premier est de la patiente dont l’imc est inferieure à la normale et qui a des stratégies pour controler son poids : dans 90% des cas ces patientes sont vomisseuses . Et on connaît les difficultés nosographiques avec l’amr, puisque classiquement elles sont à ranger dans le cadre nosologique des AMR . Elles sont également le plus souvent des anciennes anorexiques très rarement des boulimiques qui ont acquis le vomissement au cours de leur évolution Leur demande est de voir disparaître les vomisssement dont elles sentent bien qu’il rentre dans leur variation d’humeur , leur fatigue . Certaines ne sont pas génées par les vomissements qui font partie de leur vie mais ont peur de vieillir rapidement . LA proecdure est de leur repartir de maier plus judicieuse les apports alimentaires : petit dejeuenr dejeuner suffisament énéergetique pour qu’elle ne soit pas amenées en debut de soirée à faire une crise vite évacuéee . Ce discours est tout à fait acceptée mais très difficile à mettre en œuvre car la conséquence de ces nouvelles habitudes est forcément la prise de poids. Et l’on peut évaluer grossierement la gravité du trouble de l’image du corps à l’acceptation de prise de poids : Certaines opposent un refus pour quelques centaines de grammes Pourquoi ? pour des raisons psychologiques et/ou physiques : Sensation de remplissage très désagréable à la limite de la nausée en cas d’absorption alimentaire legt augmentée ,mais le plus souvent sensation des les premieres centaines de gramme d’envahissement par la graisse de dégout de leur corps .Sur le plan psychothérapeutique tout le travail est de contourner ou de diminuer la résistance fondamentale à la prise de poids .L’on peut s’appueyer sur les anomalies telles que l’absnece de régles , sur les troubles dentaires ou oesophagien sur la biologie naormale hypokaliémie deficit de fer etc. .Malheureusmeent certaines patientes n’on que peu modiifié les grandes constantes et supportent remarquablement et depuis de nombreuses années leurs dysfonctionnements

 Le second cas de figure est celui des boulimiques non vomisseuses qui se présnetent avec un surpoids imc entre 25et 35 , dont la souffrance est plus exprimée et qui viennent en fait pour maigrir . LA situation est plus favorable et se rapproche des BED .La souffrance exprimée est proportionnelle au surpoids . Les difficultés sont du domaine de la possiblité de réguler leur conduite alimentaire . Elles ont bien sur fiat des quantités de régimes innombrables , utilisés des tratégies diveres jeune de qules jours . Elles osnt plein,es de bonne volonté sont prétes à toutes les restrictions proposées . Là est le piége de les suivre dans cette voie . La thérapie va étre centrée sur la recherche des causes d’échecs puique sur le plan des connaissances diététiques elles osnt parfaitement au point . Le but est de leur faire accepter une alimentation adaptée à leur age ( adolescence prémépause à leur morphotype . En fait uen prise en chagre réaliste pas toujours spectaculaire , ni magique . IL faudra faire attention à ne pas centrer les rencontres sur le poids mais aussi sur l’estime de soi la vision du monde pour leur faire accepter de modifier leur comportment ds le temps et dc durablement . Souvent àprés une phase de perte de poids , pour se récompenser elles repartent dans des dérapages . Aussi il faut faire attention pour ne pas mettre la relation en echec à ne pas pas etre trop restrictif au début ne pas étre trop frustant , sinon on refait ce qu’elle connaisse bien effort , reprise des crises poids nouvel echec .

 

3) L’obésité

L’obésité et en particulier le syndrome métabolique sont en augmentation exponentielle dans les pays occidentaux et leur prise en charge est un échec à 5 ans dans une proportion tés importante des cas .

Le traitement de l’obésité passe un état des lieux sous forme de calcul calorique théorique forcement approximatif puisque receuilli par un interrogatoire structuré ou par un carnet alimentaire . Et dés cette étape , les difficultés apparaissent puisque de maniére un peu provocatrice beaucoup d’obéses déclarent une laimentaiton tout à fait raisonnable . Et pourtant ils soulignent leur stagnation pondérale

Cas clinique : banison alain 63 ans ancien maçon , inactif actuellement, 125kgs/1.79 plus 25kgs en deux ans ne mange pas de pain pas de fromage ne boit pas d’alcool mange des légumes et du poisson pas de sucreries bref au premier entretien le cas semble incompréhensible En fait il a une alimentation idéale quel est dc le probléme ?

La mise en place d’une adaptation personnalisée adpatée ADA prenant en compte l’age le sexe( periode ménopausique , syndrome prémenstruel )  l’activité physique inexistante  ,l’arret du tabac éventuellmeent la comorbidité ( thyroide diabete ) les traitement éventuels hormonaux psychiatrique ( NL surtout ,tricycliques ) doivent étre prise ne compte .

 En fait les prospositions htérapeutiques tourent auour de l’aDA et une repsie adaptée de l’activité physique de préférence d’endurance ( velo , natation course à pied et on connaît le nombre de joggeurs anciens obéses ou anciens tabagiques )

Apres les difficultés du receuil des données plusieurs problemes se posent :

 le suivi à long terme est indispensable pour travailler sur le déni de l’absorption alimentaire inadaptée soit par éducation soit par besoin de remplissage . Le travail sur les connaissances diétététiques minimum est important surtout avec les hommes qui souvent font des erreurs par ignorance de la chose alimentaire . Dans le cas des femmes le sujet est plus le besoin d’absorber de la nourriture par rapport à une gestion inadaptée des émotions par auto-traitement et l’on pense aux mangeuses de chocolat bourré de tryptophane précurseur de la sérotonine . L’on va travailler également sur le besoin de sucres ( 80%des femmes mangent preférentiellment des aliments à forte teneur en sucre pendant les dérapages , pour les autres cela peut etre de la viande hachée crue , la charcuterie des cornichons fromage etc…..Le plaisir de manger peut étre également évoqué car cela reste une composante essentielle de l’oralité et le bénéfice secondaire le plus recherché .

 L’ambivalence et la passivité , une certaine inertie sont les deux facteurs de résistance à notre avis les plus forts de la difficulté qu’ont les obéses de modifier leur maniére de se nourrir , donc de vivre . Et ce remaniement indispensable ne peut etre induit par la suggestion par l’encouragement . Cela ne peut se faire que dans le cadre d’un véritable insight .

 Enfin l’on sait que méme si des résultats probants sont notés au début de la prise en charge , les échecs viennent des rechutes . Dc suivi de loin en loin pour renouveler les encouragements fixér des objectifs réalisables .

 

STRATEGIES POUR LUTTER COTNRE

LA RESISTANCE

UTILISATION DE

LA RESISTANCE

 Erickson therapeute americain hypnotherapeute quelques mots sur l’utilisation de la résistance du patient pour créer le changement par la mise au point de nombreux procédés : prescription paradoxale ,

ENTRETIEN MOTIVATIONNEL

 

L’entretien de motivation est une nouvelle approche psychotherapeutique de la dependendance et de l’observance récemement introduit en France quoi repose sur un entretien semi-directif axé sur l’ecxploration et la résolution de l’ambivalecne du patient confronté à une modification de coportement . Elle est . appliquée dans différentes situations : Intoxicaiton médicamenteuse ( somniféres antidouleurs chez les migraineus les hyperalgiques ), alcool .

L’entretien de motivation se catractérise par des questions ouvertes , une écoute réflective , une incitation à yun discours de changement

Ce n’est pas sueulement une  technique de communication originale c’est aussi une realtion nouvelle entree l’équipe soignate et le paitent dans laquelle ce dernier est amené à jouer un role actif pour sa propre prise en charge . Cette technique de psychotherapie particuliérement indiquée dés le début de la prise encharge favorise l’adhésion du patient à un projet de soins et l’observance thérapeutique L’netretien de motivation s’adresse aux patients réticents aux changements induits par le traitement de leur pathologie et aux professionnels de santéamenés à assurer des entretiens thérapeutiques

Dans le traitement des paitents osuffrant de TCA .Les objectifs de l’entretien de motivaiton sont la prise de conscience de la dépendance à la nourriture , de la place des la pusion laimetnaire dans leur déséquilibre psychologique , des deosrdres sociaux que ela engencre isolement, difficultés relationnelles avec leur proches dépenses inconsidérée , épuisement physique troubles de la libido du sommeil . Chez les AM , il est utile d’affronter les désordres cognitifs : image du corps aprofondément altérée , , troubles physiologiques consécutifs à l’aménorhée , ostéoporose engendrant des décalcifiqctions définitives . Les patientes ne particulier vomisseuses sont sensibles aux dégats physiologiques qu’elles s’infligent sont avides d’informations quant aux conséquences des troubles ioniques hypokaliémie des risques de délabrements cardiovasculaires Il est évident que ce travail sera d’autant plus efficace que l’on prend en chagre des patizentes en début d’évolution mais cette sorte d’entretien peut etre un moyen élégant non agressif pour la paitente de de prendre ne contact ne mettant en exergue lesp oints indiscutables des troubles physiques et/ou psychologiques que les patientes connaissent naturellement mais ont évacués par déni . .On explorera l’ambivalence ( balace décisionnelle ) , l’amélioraiton de la ocnfiance ne soi par la levée des obstacles et le choios d’un plan de changement une fois la décision prise .

 La technique repose sur l’empahtie , la mise en évidence sereine des discordance (entre le comportement présent ; les motifs de la demande , les objectifs partageables les valeurs personnelles .Le traitement en douceur de la résistance se fait en proposant de nouveaux points de vue sans les imposer , le renforcement du sentiment d’efficacité personnelle ( en valorisant le crédit que s’accorde le patient quant à ses possiblités de changement sa responsabilité de choix et le développement de changement )

Il fuat éviter quelques erreurs : une confrontaton qui renforce le déni ( plus fréquente chez les obéses vous ets le docteur , j’ai faim…..) etre prudent avant d’énoncer un diagnostic , de focalier d’emblée sur le probléme , de porter des jugements chez ces patients très fragile sur le plan émotionnle et affectés par des troubles cognitifs et relationnels qui peuvent ressentir des énoncées médicaux objecitfs comme une agression

L’entretien de motivaiton devrait s’adresser à terme à toutes les patholgies chronqiues pouvant aovir des répercussions sociales familiales et professionnelles

 

 

 

 

Statégies pour améliorer l’observance

 

Généralités

 

Chaque cas est particulier suppose une appréciation personnalisé en fonction de l’histoire de chaque patient

Avant la prescription

Simplifier les prises , les prescriptions apporter toutes les informations de maniére claire ccomprehensible et complete

Au moment de la prescription

Prise en compte des difficultes sociales personnelles age handicap sensoriel niveau socio culturel type de personnalite Tant qu ’un patient est soumis à des stress environnementaux séveres difficile d’entamer une therapie , c’est le facteur le plus important de difficulté

Cas particulier : en aigu difficile de presenter les avantages et les inconveneients d’une quelquonque thérapie

Suivi et aprés la prescription

Surveillance de l’apparition des effets secondaires lateraux , etre capable d’écouter les critiques ses exigences de décrytper ses croyances . Des modifications posologiques simples suffisent à prevenir ces effets

De l’incompréhension au mépris ou à la persécution il n’y a svt qu’un pas chez certains paitents vulnérables

L’éducation enfin est le point d’appui cardinal sur lequel il faut s’appueyr pour faire bouger les habitudes . A coté de cette éducation qui donnent d’excelllents résultats chez les personnes structrurées, il nous semble que le travail sur les motivation et les dysfonctionnements émotionels ( toujours dans le sens d’une hyperémotivité et une fragilité émotionnelle ) est  indispensable dans le cadre d’une prise en charge des TCA Cela est évident pour ce qui releve de la pathologie psychiatriques AM et boulimie , mais est peu etre nouveau dans le cas de l’obésité

En pratique .Dans notre expereince de patients tout venant le probleme du rythme des rencontres se pose dans plus de la moitié des cas .De maniére claire ou insconiente la dmeande de consultation rapporchée est fréquente . Confrontée aux difficultés de planiing , il faut trouver un compromis permaent en sachant que le probléme n’est pas le début de prise en charge mais la fin : Comment diminuer le rythme des consutlations sans voir s’installer des prises en charge inutile ou qui paraisseent inutiles plusierus années chez certaines femmes ( obéses ménopausées viant seules par exemple consultation pdt lesquelles il faut toujours ramener l’entretien sur les tca ; la patiente ayant surtt besoin de contacs humains . Ces circosntances choquent svt les étudiants qui assistent aux consultations et j’avoue avoir peu d’arguments scientitfiques pour maintenir ce genre de relation thérapeutique : au niveau insconcient si la patiente est toujours demandeuse ponctuelle fidele c’est que l’entretien sert de balise dans sa vie et que se cosntruit sur la durée un appui necessaire . Dans le cas des hommes obéses , le rapport est le plsu souvent différent , les jeunes ont svt un besoin de maigrir une demeande de réponse « massive » une certaine exigence et le risque est qu’au bout de quleques cosnutlations la relation se rompt soit que le paitent nous a essayé , soit que devant l’impossiblité d’accéder à une certaine mise en place de modifications et devant la résistance presque provocatrice ( c’est vous le médecin , ou si c’est pour me faire dire qu’il ne faut pas manger je n’ai pas besoin de payer une consultation etc…. difficile à supporter) c’est d’aillerus la méme chose avec les alcooliques et parés une acmée se traduisant par une confrontation parfois houleuse, ou la realtion presiste ou elle se rompt .

Pour notre part le ryhtme des consultations proposée est de bimensuel avec ajustement en fonction des évenements mais sous forme de contrat avec durée déterminée un deux ou trois mois . Cela semble acceptable pour les deux parties avec la possibilité de réaasurer la patiente et pour le thérapeute la possiblité de planifier les entretiens avec d’autres patientes . De plus la pose de cadre clair permet de fixer une échéance de guerison ou otut le moins d’amélioration qui part lui méme est thérapeutique ( utiliser comme tel ds les stratégies thérapeutiques des thérapies dites bréves

 

 

Les premières études menées ont identifié des méthodes permettant d’améliorer l’observance en visant trois objectifs : modifier le comportement du patient, modifier le comportement des soignants, modifier le schéma thérapeutique.

Stratégies axées sur le patient :

- Education du patient avec l’exposé des objectifs du traitement, des motifs justifiant les doses prescrites et les exigences d’administration, son implication dans la planification des prises ainsi que l’autogestion de certains effets indésirables.

- Appropriation du planning des prises médicamenteuses par des moyens mnémotechniques, horaire régulier, précis et détaillé associant les repas et les activités quotidiennes du patient

- Soutien social avec l’implication des personnes importantes de l’entourage ou de la famille dans la gestion du traitement, partage d’expériences ou groupes de paroles avec d’autres patients.diabete sida alcoolisme

- Traitement des pathologies concomitantes, y compris les addictions.

- Facilitation de l’accès aux soins par une assistance sociale voire financière et si nécessaire un suivi à domicile.

- Système de récompenses pour une observance réussie : informer le patient des bons résultats, réduire le nombre de consultations. Aux Etats-Unis, dix études sur onze entre 1976 et 1996 montrent une amélioration de l’observance quand une incitation financière est utilisée. Les études randomisées dans d’autres pays montrent que ces résultats ne peuvent être traduits directement avec un contexte socio-culturel différent. 

- utilisation de réseau ou /et de paramédicaux infirmiéres et/ou de diététiciennes dans le cadre de la prévention ( milieu scoalire) du dépistage et ds le cadre du suivi renforcement contrôle dsu suivi des prescritons, visite du cadre de vie ,.La demande actuelle est une aide sur le plan nutrtionnel : Atelier de cuiisne toute simple, quel utilisation des mets ,aide à la préparation de plats corrects sur le plan nutritonnel dc des recettes de cuisine . Les paitentes n’ont souvent pas ou plus de notions dnon sueleemtn de leurs besoins mais aussi des possibilités de de diversité culinaire des odsages des varioatés de préparation toujours dans le cadre du cuisiner correct

 

Stratégies axées sur l’équipe soignante :

- Education du médecin : réflexion sur l’importance de l’observance, techniques destinées à améliorer la communication avec le patient, prise en compte et traitement efficace des effets secondaires

- Rôle du médecin dans la relation thérapeutique : établissement d’un rapport de confiance réciproque, de disponibilité, d’un climat de partenariat impliquant les proches et la famille.

- Formation des équipes soignantes au counseling, partenariat avec les associations de soutien aux patients

- Soutien de l’ensemble de l’équipe par une approche pluridisciplinaire avec feed-back positif pour les interventions réussies.

 

Stratégies axées sur le schéma thérapeutique

- Education du médecin : réflexion sur l’importance de l’observance, techniques destinées à améliorer la communication avec le patient, prise en compte et traitement efficace des effets secondaires

- Rôle du médecin dans la relation thérapeutique : établissement d’un rapport de confiance réciproque, de disponibilité, d’un climat de partenariat impliquant les proches et la famille.

- Formation des équipes soignantes au counseling, partenariat avec les associations de soutien aux patients

- Soutien de l’ensemble de l’équipe par une approche pluridisciplinaire avec feed-back positif pour les interventions réussies.

Le rapport Delfraissy recommande aux équipes médicales de mettre en place au sein du service hospitalier des programmes spécifiques d’écoute et d’aide aux patients par du personnel spécialement formé à cet effet. Les consultations d’observance paraissent particulièrement indiquées lors des premiers mois suivant l’initiation d’un traitement. La reconnaissance et la gestion des effets indésirables ressentis par les patients sont deux composantes essentielles de la démarche d’accompagnement. Leur fréquence, leur nature et leurs conséquences sur la vie quotidienne des personnes sont considérablement sous-évaluées par les médecins et les soignants. La relation soignant-soigné doit s’inscrire dans une démarche de non-jugement et de neutralité.

L’enjeu que représente l’observance pour l’efficacité des traitements oblige les soignants à se doter d’un certain nombre de savoirs en sciences sociales sur la complexité des comportements, des attitudes, des affects et des croyances en jeu dans la prise d’un traitement. L’observance s’inscrit dans un courant d’éducation à la santé qui privilégie le soutien par rapport au contrôle, dans une démarche globale de prise en charge et de soins.

Permettre une parole sur les difficultés d’observance, les échecs et les espoirs des traitements, c’est réunir les conditions minimales pour que la personne s’approprie les connaissances, les émotions, les attitudes et intègre la thérapeutique dans sa vie quotidienne en acceptant les réaménagements nécessaires.

Le counseling centré sur la personne dans sa relation aux traitements nécessite de travailler à plusieurs niveaux : niveau cognitif (connaissances, croyances, attentes) niveau émotionnel (perceptions, espoir, désespoir, peurs, incertitudes), et niveau comportemental (intégration des traitements dans le style de vie, sens de l’organisation, réduction des obstacles, analyse du contexte des échappements).

Ce travail passe par plusieurs étapes, comme par exemple la réponse immédiate aux besoins sociaux de la personne, l’analyse de la dynamique sous-jacente à l’inobservance (émotions, stratégies d’évitement autoprotectrices, conflits internes insurmontables), l’aide à la résolution de problèmes, l’élaboration d’un nouveau scénario de vie, l’apprentissage de routines de prise de médicaments.

 

 

 

Conclusion pratique

 

 pr les anglo saxons le medecin dt etre un bon vendeur 

Avant de prescrire un ttt , créer un partenariat avec le patient base sur la confiance et la comprehensiion mutuelle Partir de sa vision du pzitent reformuler les informations ds son langage

Pour elevre l’adhesion au ttt ,mettre en exergue les objectifs et l’interet pour la sante du patient

Ecoute et se garder de prendre une position dominante

Si le patient entame un ttt sans s’en etre appropprié l’interet riscque majeur de mauvaise obesrvance ou de resistance 

Le therapeute doit apprendre à écouter les diffcultés du paitent et de scruter les petits difficultés

A ses diffciultes il faut se garder de donner des réponses immediates mais tjrs approfondir par des questions ouvertes

Dialogue jamais monologue dc attention à position dominante ne pas hesiter à faire émerger les options que les patients pensent à mettre ne place face à ses difficultés avt de proposer des solutions

Prendre en compte les émotions dans la rencontre S’informer du ressenti du patient ; ecoute active expression de ses propres émotions si celap eut etre utile pour le malade ( à faire avec précaution quand meme )

Laisser s’exprimer les émotions

 Les patients sont plus satisfaits de parler de leur probleme que d’ecouter des informations

 Meme les sentiments de frustation du therapeute quant aux attitudes de non adhéesion au traitement du patient sont interprétés par celui çi comme faisant partie des soins

 La prise en compte du partage des émotions est un des élément clés des modéles de communicaton médicale .Le paitent y developpe une meilleure adaptation en intégrant les buts de la thérapeutique , les possibles effets latéraux et secondaires , l’impportance d’un support soail et affectif et le developpement d’un motivation suffisante pour surmonter les frustations le difficultés .Ils développent ainsi une expertise qui lui peremet de gérer les aléas therpeutiques au cours des differentes étapes< de la maladie ( diabete 1 ins renale grave dialyse sida)

Ne pas forcer la porte pas exemple à la difficulté temps pretexte pour ne pas faire d’activité physique approfondir les possibilités d’aménagement du temps pour mettre en place des plages acceptables pour le sport 15 mn de marche 3 fois par semaine

 

3 etapes pour negocier un plan d’adhesion de traitement ( Steward et col )

 -1 décrire le probelme médical , les buts de la prise en charge , et evoquer les roles de therapeute et du paitent ds la mise en place des soins Baser la prise ne chagre sur lés choix du patient discuter des differtnes éventualités possibles : hospitalisations interet inconvneient ce que l’on peut en attendre

 -2 permettre au paitent en lui proposant de parler de ses inquiétudes de ses diffcultés de cerner ses propres objectifs dans son language : question ouverte : pouvez vous m’aider à comprendre qu’est ce que vous attendez de moi aujourdh’ui.

 -3 ensemble mettre à plat les points litigieux , si il n’y ’a pas accord sur un point , le therapeute doit etre flexible : sur les informations rapportées par le patient par exemple internet pas tjrs fiable ou ne correspondant pas en trop ou en moins à la problématique actuelle

 

  Respect mutuel ; les paitents sont de plus ne plus désireux de participer à leur prise en charge . D’un cote les patients agés , les patients atteints de maladies graves , les personnes peu cultivées celles qui<sont satisfaites de leur prise en charge les personnes sécures font confiance dans leur therapeute .De l’autre cote du spectre , les patients surinformes , ceux qui ont des responsabilités importantes dans la vie sociale et professionnelle ceux qui ont une peronnalités anxieuses ou tout simplement inquiéte sont plus soupconneux pinailleurs et n’hesitent pas à multiplier les contacts médicaux , solliciter des avis divers .Elles sont plus actives dans le suivi de leur maladie .

 Les positions de chacun peuvent etre brouillés par les attentes du patient Le début de la rencontre doit donc tendre parfois à préciser les attentes exactes du patient ceçi d’autant plus que l’ on en connaît pas ou peu le patient ( position du generaliste dans une relation continue versus le spécialiste sollciité pour un avis ponctuel )  : le patient qui recherche une autorité dans la relation therapeutique et qui confie tous ses problémes de santé peut etre géné par une attitude médicale de partage de l’information et des taches , inversement un medecin qui envisage le patient comme une personne et le patient qui ne désire qu’une réponse technique sur un point particulier et qui ressent comme une intrusion des questions plus personnelles ( l’interogatoire des habitudes de vie peut ds ce cas etre vécu comme intrusif :jeune femme dont la pathologie peut recouvrir une prob gynecologique )

 

 

CONCLUSION

 

 

La relation medecin malade évolue dans le sens d’un équilibre . Les relations medecin patient basée sur un autoritarisme médical sont dépassées . L’élévation du niveau culturel , l’augmentation de l’accés à l’information ont modifiés l(‘abord de la medécine par les patients . Et l’excés inverse apparaît : Accepter une realtion de soins basée sur les diktats des patients et reléguant le praticien au niveau d’un vulgaire prestataire de service est ttout à fait inappropprié également . Il faut que les praticiens apprennent à transformer ce qui est parfois ressenti comme une pression en participation cons,tructive, consciente et éclairée

La relation de soins , l’importance cruciale des décisions à prendre et leurs conséquences sont fondées une relation de nautre humaine qui se noue à travers la meilleure communication possible, dmeamndant la capacité de se remettre en question ,de faire montre de créativité , à travers le temps passé ensemble . 

 

Paul Ricoeur : ce n’est que part un lien de confiance, de complicité ( complicare plier avec )d’amitié que pourra naitre et s’affermir une relation de confiance une relation thérapeutique

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Commentaires
J
Ma femme et moi nous occupons d'une jeune fille de 40 ans souffrant d'une forme d'anorexie mentale dont j'ai trouvé plusieurs symptômes de "résistance" décrits dans votre article. Nous cherchons dans le Var ou les B. du Rhône une structure médicale différente d'un simple établissement psychiatrique. Pourriez-vous nous téléphoner si vous connaissez cela ? Nous vous en dirons plus au téléphone. Merci. Jaco.
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